La filiation spirituelle et nominative directe entre le père des dieux préhistorique et Kish en Sumer, Gizeh en Égypte, le Hatti au pays hittite

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OBJECTIF DE CET ARTICLE

Après le décryptage des fresques rupestres analysés dans les articles précédents, cet article fait la démonstration que les civilisations de Sumer, d’Egypte et Hittite n’ont pas nommé leurs centres religieux ou leur civilisation au hasard mais elles se sont choisies un nom faisant directement référence à l’un des  nom majeurs du père primordial de l’humanité divinisé après sa mort : kisha (ou kissa) et à ses symboles ou double sens idéographiques majeurs ((l’équidé (âne, cheval), le cerf, le buisson d’épines, le balai)

Table des matières

LIEN DE CET ARTICLE AVEC TOUTE LA SÉRIE  LITTÉRAIRE  « LA VÉRITABLE HISTOIRE DES RELIGIONS DE L’HUMANITÉ »

 

Cet article est extrait du livre lui aussi disponible sur ce site :

Le déchiffrage du language des cavernes

Livre que vous pourrez aussi trouver à la rubrique :

Livres déjà parus

Pour bien comprendre la raison d’être de ce livre au sein de la série littéraire la véritable histoires des religions de l’humanité, rendez-vous à la page :

Introduction / Structuration et contenu

Je vous souhaite maintenant une excellente lecture de cet article que je mets à votre disposition, dans son intégralité, ci-dessous :

La filiation spirituelle et nominative directe entre le père des dieux préhistorique et Kish en Sumer, Gizeh en Égypte, le Hatti au pays hittite 

 

 

Tout au long de cette analyse, nous avons de manière récurrente observé que le père des dieux est nommé directement ou indirectement kiš(a).

 

Nous avons vu dans l’analyse du cerf noir ce que kiš/keš signifie : l’homme, l’ancêtre de la Terre, le dieu-Christ Roi-roi des morts de la Terre ou de la déesse de la terre

Nous avons vu :

Dans l’analyse du bison, que kiš est un équivalent :

  • de ku-uš(u), kuš (kush), guš (gush), représenté par un bison / taureau sauvage avec le signe šu (ce dernier indiquant plus particulièrement son statut de fondateur de l’humanité, sa domination totale)
  • de adam(a), qui fut représenté par un bison (ama, am) avec le signe  a/ad/ada
  • Nous avons aussi vu que kiš ou keš signifie la totalité, ce qui en fait un équivalent de kuš / guš, car «  » emporte l’idée de totalité (nous le verrons dans la partie II)
  • Il y a donc une équivalence adam(a) = kuš/guš = kiš/keš

Ce qui nous renvoie à :

L’auroch du panneau de la licorne  :

  • adam(a) : III “ad(a) / a-aa, le père humain, le grand-père, le vieillard” áma, am l’auroch, le taureau sauvage
  • a-aa-ku/gu : III “ad(a) / a-aa, le père humain, le grand-père, le vieillard” ku (a-ka, a-ga, ugu) l’ancêtre géniteur procréateur biologique, gu le bœuf, le taureau

Au signe X III du diverticule des félins :

  • adam(a) : III “ad(a) / a-aa, le père humain, le grand-père, le vieillard” áma, am l’auroch, le taureau sauvage
  • a-aa-ku/gu : III “ad(a) / a-aa, le père humain, le grand-père, le vieillard” ku (a-ka, a-ga, ugu) l’ancêtre géniteur procréateur biologique, gu le bœuf, le taureau

suivi de« l’unique, le seul, le dieu, sous le symbole du disque solaire, de l’étoile »

Au poisson marqué du signe III de la grotte de Pindal :

  • a-aa-ku/gu : III “ad(a) / a-aa, le père humain, le grand-père, le vieillard” ku (a-ka, a-ga, ugu) l’ancêtre géniteur procréateur biologique, ku(– a) le poisson (équivalent de gu, le bœuf, le taureau).

De plus, dans l’analyse du cheval de Marsoulas ou le deuxième cheval chinois de Lascaux nous avons vu que le terme pour équidé (âne, cheval) anše est un strict équivalent de kiš.

Dans l’analyse du cerf noir nous avons vu que le rectangle et la ligne de points qui le nomme se translittèrent ñiša / keša / kiša / ñeša alors même que kiš / kiš est juste l’idéogramme proto-cunéiforme de la biche et du cerf !! Ainsi, le rectangle placé en dessous du cerf ñiš/ ñeš ou kiš/keš est juste une identique contrepartie du cerf au-dessus et avec la ligne de points il se prononce kiša.

 

Dans l’analyse du taureau noir, nous avons que le signe du buisson / balai qui le nomme se translittère notamment … kiša2

Pour celles et ceux qui penseraient que kiš est un mot très courant je rappelle ici ce que nous avons vu savoir que ses occurrences sont en fait très rares puisqu’on ne le retrouve que dans 4 mots : kiša, kiši, kišib, kišik (donc 3 signifient le buisson d’épines !) et que les trois seules fois où il est désigné comme idéogramme de logogrammes sumériens c’est pour son sens littéral de la ville de Kish qui désigne la totalité du monde politico-religieux de Sumer[1], et pour l’âne et le cerf.

Il en est logiquement déduit qu’il y a un lien éminemment singulier, spécifique, unique, entre le père des dieux et le logogramme kiš(a).

Évidemment, il est parfaitement absurde de penser qu’il puisse y avoir un surpuissant Dieu hasard darwinien qui serait à l’origine de toutes ces coïncidences.

Ou alors il est vraiment, vraiment balaise.

D’autant que, comme nous en avons déjà un peu parlé, quel était le nom de la première dynastie politico-religieuse archaïque de Sumer ?

 

Sumer et la Ville de Kish

 

Si une grande importance est donnée à l’influence d’Uruk, si elle a pu jouer plus tard un rôle prépondérant, c’est en fait la dynastie de Kish au nord de la Mésopotamie (futur territoire d’Akkad) qui était la dynastie la plus archaïque de la région et qui eut sans aucun doute primitivement la double prévalence royale et religieuse sur toute la région[2].

Nous en verrons toutes les preuves dans les annexes du livre suivant.

Ce n’est ainsi absolument pas par hasard si c’est le logogramme kiš qui désigne la totalité du monde politico-religieux de Sumer, si l’idéogramme proto-cunéiforme de kiš est lequel, parce qu’il indique les 4 points cardinaux, représente l’intégralité du monde, donc la totalité de la domination du père ancêtre devenu suprême père des dieux[3].

Mais, et vous l’avez bien compris maintenant, ce n’est assurément pas un hasard si ce nom a été choisi pour désigner l’épicentre, le centre névralgique du pouvoir politique et religieux.

Le but clair et transparent étant de se placer dans la filiation, dans l’héritage dans la lignée spirituelle de la grande divinité afin tout à la fois de lui rendre un culte, d’asseoir son hégémonie sur le peuple sur cette base et pour en obtenir les faveurs et la bénédiction.

Le nom de kiš(a) est assurément une véritable signature mystique reliant intimement le monde de la préhistoire et celui postdiluvien de l’histoire.

Car il est juste un des titres les plus importants de la grande divinité, depuis des temps immémoriaux, des temps préhistoriques, des temps des anciens, des aînés transmis aux cadets que furent les nouvelles générations de Sumer et de l’Égypte.

Immémoriaux, enfin… plus exactement, car je pense vous avoir rendu la mémoire, vous avoir rendu la mémoire la plus archaïque qui soit.

Disons, depuis des temps qui avaient été oubliés et qui vient de resurgir avec quelques-uns de ses symboles majeurs, d’avec ce livre, du néant, du puits de l’oubli où ils étaient tombés dans l’esprit des gens, pour ne tomber qu’entre les mains des plus puissants, les politiques et les religieux qui ont eux, su et tu ces vérités pour s’arroger le pouvoir sur le monde, et qui n’ont jamais jusqu’aujourd’hui cessé de jouer avec eux pour se jouer de vous.

Mais, jusqu’ici, nous n’avons parlé que du fait que la dynastie sumérienne de Kish et le nom de la ville en sont une manifestation temporelle concrète.

Vous pensez peut-être qu’il en va différemment ailleurs ?

hm… Vous êtes sur(s) ?

Prenons alors l’exemple de l’Égypte et puis des Hittites 

 

Kish et Gizeh

 

Préambule sur Gizeh

 

S’il est un site antique qui a attiré l’attention de toute l’humanité moderne, sans guère de doute, Gizeh détient le flambeau.

Combien de livres ont été écrits sur le sujet ?

Combien de chercheurs y ont dédiés leur existence, pour, d’une part comprendre les raisons de sa construction, le « Pourquoi », et d’autre part, les modalités de sa construction, le « Comment » ?

Combien d’années de vie et d’étude lui ont ainsi été dédiées ?

Je pense que l’on ne saurait les compter. Quant au nombre de livres, ils rempliraient certainement à eux seuls nombres de bibliothèques.

Les documentaires récents, bien que numériques et prenant moins de place, sont eux aussi assez nombreux.

En France, nous avons ainsi tous en tête le reportage « le secret des pyramides » expliquant que Gizeh et le Sphinx représentent un gigantesque calendrier indiquant le cycle des constellations du zodiaque pour indiquer à l’humanité la catastrophe induite par une inversion des pôles.

La structure quant à elle contenant de nombreuses constantes mathématiques, le mètre, le nombre Pi, dans une sorte de langage mathématique susceptible de parler aux générations futures.

De plus, ce reportage expliquait que les sites sacrés, tels que répartis à travers le monde, sont alignés, en respectant des proportions du nombre Pi et du nombre d’Or.

La conclusion étant que les concepteurs de ces sites étaient nécessairement d’un niveau civilisationnel et, disons-le non humain, pour ainsi concevoir un plan aussi réfléchi, pensé, prémédité, à l’échelle, cette fois, de la planète.

En quoi ce livre ou plutôt cette série est-il/elle donc différent des autres et que va-t-il apporter ou dire de plus que ce qui a été déjà dit ou écrit ou filmé ?

Comme vous l’avez compris, de mon point de vue, la clef de lecture symbolique est la seule susceptible de décrypter tous les sites sacrés, quels qu’ils soient et où qu’ils se trouvent, puisque c’est le langage sacré le plus ancien et le plus universel.

Je décrypterai donc l’intégralité de ce site dans le volume 6.

Il est déjà écrit, mais comme je l’expliquerai un peu plus tard, il est prématuré de vous le livrer pour l’heure.

Il vous suffit pour l’instant simplement de savoir qu’en dépit des diverses théories énoncées qui mettent souvent l’accent sur des particularités secondaires du site, Gizeh est, avant toute chose, à l’instar de tous les autres sites mégalithiques, y compris le sanctuaire de la caverne, un haut lieu de la renaissance de l’homme primordial en la grande divinité père des dieux, avec pour avatar local Osiris et aussi, sans doute, un haut-lieu de la transmission renaissance du faux culte antédiluvien.

Il est ici je le crois juste très utile, plutôt que d’empiéter sur tout ce qui sera dit dans le volume 6, de simplement commencer par se demander ce que Gizeh signifie.

C’est évidemment très en lien avec tout ce que nous venons de voir.

 

L’étymologie de Gizeh

 

Pour commencer à comprendre ce que l’origine archaïque du nom de Gizeh, je vais m’appuyer sur les remarques éclairées de Mme Gigal et nous en tirerons ensuite la conclusion appropriée

 

L’apport clef de Mme GIGAL

 

Mme Antoine GIGAL est une linguiste (diplômée de la Sorbonne en langues orientales) et une spécialiste reconnue de ce site.

Elle a été l’une des deux rares personnes à avoir l’autorisation officielle de la part des autorités égyptiennes de visiter la chambre funéraire souterraine de la pyramide de Keops.

Elle nous livre dans ses écrits et sur son site une explication sémantique du terme Gizeh qui, nous allons le voir, se révélera très lourde de sens.

Voyons tout d’abord ce que Mme GIGAL nous enseigne :

Giza vient du mot ghezira « l’île », frontière, le « coin » l’eau où se rencontrait l’eau de la mer et du Nil.

Pour les pays d’Afrique nilotique, Gizeh vient du mot « kissa » qui est le nom du dieu du Nil qui est aussi le nom du dieu Osiris.

Si on prend les langues parlées dans la corne de l’Afrique, il signifie dans certaines langues « maison » « territoire ».

Au Japon, « kissa » signifie siéger en dessous comme le faisait Osiris.

En hébreu, cela signifie pierre coupée

En yiddish, le bon lignage le lignage important le lignage pur.

« … »

Les linguistes disent que le « g » était un « k » et le « z » était un « s ».

Ce qui donna « casa » en espagnol pour maison …

https://www.youtube.com/watch?v=zNZktKvMuGQ

 

Conclusion sur l’origine du nom de Gizeh

 

Il est donc patent que Giza est synonyme de kissa qui est ?

Le nom archaïque du dieu Osiris…

Or, si toutes les langues citées par Mr GIGAL sont certes utiles, elles ne peuvent pas l’être autant que le (proto)sumérien qui est à l’origine même de ce nom, comme cela a été passablement démontré, puisque c’est la langue source, la langue mère de toutes les langues sacrées par excellence et la langue la plus intriquée cultuellement avec le hiéroglyphique.

La raison pour laquelle elle n’a pas pu avancer plus loin dans la compréhension profonde de ce mot n’est assurément pas sa grande culture et son esprit, car il est brillant, mais sa méconnaissance (temporaire) du sumérien.

Elle est arabisante comme je le suis aussi et je suis certain qu’elle se mettra aussi au sumérien après cela et qu’elle finira par en tirer toutes les ficelles aussi bien sinon mieux que moi.

Rendons-lui donc hommage pour cet éclaircissement très important, car vous l’avez compris ce kissa (n’est pas simplement, pour les Français, juste l’étrange kissa kissa entonnée dans la chanson des démons de minuit [!…] mais) est évidemment le correspondant du sumérien kiša.

Notez que Mme Gigal relève, pour l’équivalence entre za / sa, qu’en Afrique nilotique, « za » est prononcé « ssa » et que les linguistes associent « z » avec « s ».

Il s’avère que l’on retrouve cette équivalence sa / za en sumérien puisque, par exemple, zu, sú signifient tous deux la sagesse, la connaissance.

Et surtout, l’équivalence sa / ša est patente en sumérien avec par exemple les termes sar šar šur qui désignent tous trois un homme puissant (d’où d’ailleurs le terme ašur [ashur] pour ce qui sera plus tard le nom d’un assyrien) ou bien ušar2,3,4, ušur2,3,4, usar qui signifie tous trois une femelle, un compagnon, un voisin… 

Si nous verrons dans l’analyse du site de Gizeh du volume tous les sens mystiques que revêt ce nom giza, ici et pour l’heure, relevons qu’incontestablement, ce site est lui aussi, exactement comme Kish en pays de Sumer, une pure et directe dédicace à l’homme primordial, père des dieux, dont Osiris ne sera, comme cela sera très clairement démontré aussi dans les livres suivants, son avatar local égyptien.

Le fait qu’Osiris lui-même soit appelé de ce nom en est déjà une preuve très claire, mais il y en a tellement d’autres que ce serait dommage de s’en priver.

 

Si vous doutez que l’Égypte a hérité sa tradition d’un monde plus ancien

 

Ce qui vient d’être dit est aussi déjà une preuve intrinsèque que l’Égypte n’est pas une civilisation ex nihilo, née d’elle-même, comme si elle s’était inventée toute seule ses propres croyances fondamentales, théorie qui plaît aux partisans des thèses éculées isolationnistes selon lesquelles toutes les civilisations sont des branches d’arbre sans tronc commun.

Comme si le surréaliste concept de génération spontanée darwinien serait applicable non seulement biologiquement (combien de fois notre pauvre Pasteur va-t-il devoir se retourner dans sa tombe ?) que spirituellement, en tout temps et en tous lieux.

Bien sûr que l’Égypte comme toutes les autres branches civilisationnelles ont seulement adopté et adapté les mêmes personnages et événements archaïques fondateurs que nous allons passer en revue de manière progressive et exhaustive.

Mais une adaptation en apparence différente ne signifie pas absence de filiation.

D’ailleurs, même sans connaître ni le monde symbolique, ni le monde cultuel, ni le sumérien, ni les hiéroglyphes ni aucune langue idéographique, ni rien de rien de tout ce que nous avons dit, il suffit de lire un peu la traduction française des textes égyptiens.

Car, avec cette civilisation, nous avons tout de même la chance d’avoir accès à des textes, écrits noir sur blanc ou plutôt hiéroglyphes sur papyrus qui nous disent tout de même directement des choses très claires, avant même de corroborer le décryptage que l’on peut faire de leur univers sacré.

À ce titre, je vous invite à lire la traduction du chapitre 17 du Livre des Morts égyptien (par Albert Slosman / Albert, « Le Livre de l’au-delà de la Vie », éditions Baudouin, 1979)

En voici quelques passages choisis très éclairants :

« Je suis le Passé d’Hier qui prépare l’Avenir de Demain grâce au soleil : le passé d’hier, c’est celui d’Usir (Osiris). Il racheta les âmes des Cadets afin que le Soleil de demain resplendisse. Puis Dieu (Osiris) arma son bras afin qu’il combatte et détruise les ennemis du Soleil, pour élever son fils Heru (Horus) sur le trône de Geb (la Terre) comme suivant-divin. Ce jour devint celui de la résurrection en la Sainte Demeure du fils aîné. “…”

Ainsi, Osiris est décrit comme étant l’aîné (comprendre la grande divinité antérieure au déluge, nous le verrons plus bas), qui a racheté les âmes des cadets, c’est-à-dire la nouvelle génération d’humains postdiluviens pour qu’il restaure son culte prédiluvien et l’emporte sur les ennemis du soleil, c’est-à-dire ses ennemis à lui, qui ne sont autres que les partisans de la vraie foi, les serviteurs du vrai dieu, Noé et ses semblables.

Concernant les aînés, c’est-à-dire la génération d’humains prédiluvienne, il nous est dit :

Ces enfants ont versé leur sang bravement pour leur Chef suprême, le Générateur qui luttait contre les rebelles du Soleil, ceux qui voulaient la suprématie idolâtre. Ils ont été vaincus avant de pouvoir s’élever eux-mêmes pour parvenir à la fin chez les Bienheureux Rachetés, loin du globe solaire. Là, ils ont trouvé la connaissance en haut des cieux, en tant que “rachetés de l’anéantissement” (lignes 60-63).

Les aînés morts durant le déluge et partisans du culte du soleil sont ainsi présentés comme s’étant sacrifiés pour les cadets, la génération postdiluvienne et comme ayant, malgré leur mort, fini par atteindre la félicité céleste. Ils sont présentés comme ayant été rachetés malgré leur anéantissement.

“Mais la longue marche préparée par les jumelles Isis et Nephtys a abouti avec l’arrivée des Cadets (lignes 23-33). Les générations cadettes sauvées pour repeupler une multitude dans le ‘Lieu du dessus-des-Eaux’ par Dieu à cet effet, les faisant arriver en deux populations meurtries et épuisées sur les terres promises que Dieu avait sauvées de l’eau dans sa Bienveillance à leur intention. Louées soient-elles, ces générations, en leur nom de ‘Survivants du Déluge ! ’, ainsi qu’en leur deuxième nom de ‘fils de la Triade du Couchant’ qui parviennent en la demeure de l’Alliance (lignes 43-48)”.

“…”

“Ainsi, les Lumières du ‘descendant-de-1’Aîné’ Usir (Osiris), le Seigneur de la parole, l’Aîné des Deux-Terres, le Pilier de la Justice et le Fils de la Vérité, parvinrent, par leurs Cadets, à la ‘Terre du temps Prévu’ — sous la Constellation de la Cuisse (du Taureau) — tant attendue par les guides qui avaient retranché de leur savoir tous les édits (ordonnances) venimeux de leurs Ancêtres. Ils marchèrent ainsi à la rencontre de la Divine Prophétesse venue du Déluge avec sa sœur, pour attendre à l’endroit promis les Fils des nouvelles générations venant de l’Occident. Et les ‘cœurs’ nés du Cœur-Aîné volent vers les pionniers, protégés par les Gardiennes Divines”.

De toute évidence, il y a eu une longue marche de deux peuples, appelés les cadets, car issus des survivants du déluge, qui se sont rendus ensemble à un lieu appelé lieu au-dessus des eaux ou la demeure de l’alliance pour y recevoir les “lumières d’Osiris” sous formes d’édits et d’ordonnances.

L’image charnelle de l’aîné se perpétua sous le soleil d’un jour nouveau, par l’Âme léguée par-dessus le Déluge grâce à l’intercession des Deux-Divines, “Lumières de la Création”, qui ressuscita ainsi en leur petit-fils !

Il est juste incroyable de lire que l’aîné, c’est-à-dire la grande divinité Osiris est réputée ici s’être réincarné après le déluge dans le “petit-fils” de qui sinon du premier homme a avoir traversé le déluge, Noé, dont le petit-fils était en l’occurrence soit Cush, soit Misraïm son frère, qui est ainsi présenté comme étant le premier pharaon postdiluvien, le premier fils du soleil, le premier roi-prêtre de la dynastie égyptienne.

C’est tout à fait logique puisque Cush est le fondateur de Kish en Sumer et il est parfaitement probable que Misraïm fit la même chose en Égypte en reprenant possession de Gizeh. Encore aujourd’hui l’Égypte porte le nom de son père fondateur. En arabe l’Égypte se Misr, du nom de son père fondateur, Misraïm qui signifie celui qui sépara la mer en deux.

Ce sont sans doute eux deux, avec leur famille respective, vraisemblablement, les fameux deux peuples qui ont fait le long voyage, la longue marche depuis l’Anatolie ou la Mésopotamie pour se rendre en Égypte et y prendre les instructions, vraisemblablement à Gizeh, en vue de restaurer le culte prédiluvien avec les instructions de toute évidence préalablement laissés sur place à leur intention.

 

Ainsi parla le Scribe d’Usir (Osiris) sur l’Obéissance des Cadets aux Commandements […] Comme l’avait prophétisée Nephtys à la Triade : “Ils naîtront vivront saints ; ils revivront forts et pareillement par l’Esprit.” Ainsi parla la Divine : “Les Cadets vivront dans la Gloire, en une multitude infinie” (lignes 77-80/ 85-86).

Le scribe d’Osiris, ce Toth archaïque, qui est sans doute, nous le verrons Cush, dans son rôle majeur de grand artisan de la restauration du faux culte pré diluvien, promet aux cadets aux survivants du déluge qui adoreront Osiris en se conformant à ses commandements qu’il leur accorder la prospérité, conformément à une prophétie de déesse (Néphtys) qui annonçait la restauration du faux culte après le déluge malgré sa destruction temporaire.

Moi, Scribe d’Usir (Osiris), assis à la suite de mes ancêtres justifiés des dons célestes. Moi-même à la voix juste, aux ordres de la Divine Prophétesse, je parle ainsi : la multitude infinie née des 7 esprits, fut perpétuée par le Seigneur de la parole, l’Aîné des Deux-Terres, le Pilier de la Justice et le Fils de la Vérité, qui recréèrent un Royaume Unique avec l’aide de la Triade issue de Nut par Heru le pur et de la bienveillance céleste envers la descendance de Setes (Seth) et de celle des Suivants d’Usir (Osiris) et d’Heru (Horus). La purification venue du Déluge a assaini la demeure d’Usir (Osiris). La multitude infinie née des 7 esprits par les deux frères, se sont opposées sous les Deux Lions Célestes qui séparaient les Deux-Cœurs du Cœur-Ainé » (lignes 90-103).

Ici, dans la même veine Cush-Toth se pose en re-créateur du royaume d’Osiris, à la suite de ses ancêtres pré-diluviens dont il se recommande.

 

Constat objectif

 

Je peux parfaitement comprendre que vous ne puissiez pour l’heure adhérer totalement à cette interprétation de ce texte.

Nous aurons, je l’espère, et si Dieu me prête vie, l’occasion de développer et prouver progressivement l’historicité des événements post-diluviens.

Même si nous n’en sommes pas là !

Nous n’avons même pas commencé les premiers événements de la Genèse.

Mais, peu importe au fond qui est qui, je vous prie à tout le moins de constater que par les termes « ainés » d’un côté et « cadets », de l’autre, « survivants du déluge », ces textes montrent très clairement qu’il y a eu une transmission cultuelle d’une génération à l’autre, « par-dessus le déluge » et que la grande divinité adorée avant le déluge a vu son culte restauré après en étant soutenu par deux peuples qui ont fait un long voyage pour restaurer son culte, recevoir ses commandements et sa bénédiction.

Ainsi, ne serait-ce que par la simple existence de traductions françaises de textes égyptiens, il n’y a aucune raison, aucune excuse de croire un seul instant que la religion égyptienne et sumérienne ne plonge pas ses racines dans le monde de la préhistoire.

Sumériens et égyptiens ne sont que les cadets, les enfants des aînés, des hommes de la préhistoire.

 

 En hittite

 

Sans guère de doute le signe préhistorique du buisson d’épines et ces déclinaisons postdiluviennes hiéroglyphiques sous les signes du buisson-balai :   et de sa variante du fourré  couplés au sens symbolique du III nous permettent de comprendre la raison pour laquelle le monde hittite lui aussi, qui, on le rappelle, était à la croisée des influences sumériennes et égyptiennes s’est choisi le symbole pour translittérer les logogrammes ha, hatti et le  pour translittérer les logogrammes wa, wi, alors même que ces logogrammes sont pour eux temporellement et cultuellement absolument fondamentaux.

Pourquoi le sont-ils ?

 

  Hatti

 

Le Hatti est le nom même de la langue liturgique du peuple hittite.

Le Hatti est aussi le nom même de leur royaume central.

Ce nom porte donc une double prééminence politico-religieuse, temporelle et sacrée.

Or ce mot, comme nous l’avons vu, Hatti est du pur égyptien :

Pour rappel, HAt-a en égyptien signifie le commencement, début [4] et HAty-a désigne le monarque, le meilleur, le premier[5].

Il est évident comme cela a déjà été dit que le choix de ce mot s’est fait par la volonté de l’élite politico-religieuse locale de se placer dans la filiation spirituelle et biologique directe du premier homme, du père ancêtre, devenu père des dieux, qui a été, comme nous le verrons dans la partie II, le premier roi, dirigeant, monarque.

À l’instar des pharaons qui se plaçaient comme étant les fils réincarnés du père des dieux râ, et par extension, tout le peuple égyptien, les Hittites eux aussi par le choix de ce nom revendiquaient le même type de filiation en droite ligne du plus grand des souverains.

Le constat du choix d’un nom égyptien atteste qu’à l’origine, les Hittites ont fait ce choix de hiéroglyphes en étant bel et bien sous la forte influence de la pensée cultuelle égyptienne comme sumérienne.

Mais comme vous l’avez compris, le choix idéographique qu’ils ont choisi d’associé à ce logogramme, en phase avec le choix égyptien, lui-même en écho du sumérien, s’interprète comme une véritable signature mystique la volonté de s’associer à travers le buisson d’épines, le fourré, au père primordial divinisé comme le dieu suprême.

 

Wa, wi

 

D’ailleurs, le choix de l’idéogramme quasi identique : pour transcrire wa, wi en est la preuve ultérieure :

En effet, nous l’avons en tout début de décryptage du III de l’auroch de Lascaux, le hiéroglyphe wa  signifie « un ; l’unique, le seul »[6].

C’est l’expression utilisée pour désigner le dieu suprême, la grande divinité.

Et c’est le signe  qui est utilisé conjointement avec le hiéroglyphe du bras pour le son « a » qui, désigne le père, qui est utilisé dans ce hiéroglyphe comme déterminatif et par ailleurs comme un substitut du hiéroglyphe de la figure humaine assise pour signifier la présence d’une divinité.

En égyptien, wA aussi le sens d’ancien, jadis, de tomber[7]

Qu’est donc que ce signe sinon un mix du buisson d’épines et du III pour désigner figurativement le père ancestral, l’homme tombé de l’ancien temps, du temps jadis, entre-temps devenu selon eux père des dieux, dieu suprême, duquel les Hittites se recommandaient et qu’ils adoraient, dans la même foulée mystique que celle des Égyptiens et des Sumériens avant eux et des hommes préhistoriques avant eux ?!

 

Petite note sur la Pensée biblique sur le buisson, le fourré

 

Après ce que nous venons de voir sur le buisson d’épines et le fourré, il est je trouve particulièrement intéressant de relever quelle connotation l’un et l’autre ont dans la Bible

 

Buisson d’épines :

 

Si l’on pense que le buisson d’épines est, dans la Bible aussi, un symbole du Dieu suprême, au prétexte que le Vrai Dieu s’adressa à Moïse depuis un buisson d’épines brûlant dans un feu permanent, il faut alors bien comprendre que le buisson d’épines est en fait du point de vue biblique une manifestation du faux dieu, qu’il détruit en le brûlant symboliquement pour toujours, montrant par là sa suprématie.

Le fait que le buisson d’épines soit attaché au mal est patent de la lecture des textes suivant :

 

II Samuel 23 : 6

Mais les gens de Bélial (les traîtres) sont tous comme des épines (ou des buissons d’épines) que l’on rejette, car on ne les prend pas avec la main

 

Isaïe 9 : 18 :

Par la colère de YHWH des armées tout le pays est brûlé et le peuple sera comme la nourriture d’un feu. Un homme n’aura pas pitié de son frère. Elle s’est enflammée comme un feu, l’impiété : elle dévorera les ronces et les épines (ou buissons d’épines) et elle s’enflammera dans l’épaisseur de la forêt et elle s’enroulera en superbes fumées.

 

Isaïe 10 : 17 :

La lumière d’Israël sera un feu et son Saint une flamme qui consumera et dévorera ses épines (ou buissons d’épines) et ses ronces en un seul jour.

 

Isaïe 27 :1, 4 : En ce jour-là, YHWH visitera de son épée dure, grande et forte Léviathan, le serpent agile, Léviathan, le serpent tortueux et il tuera le monstre qui est dans la mer. « … » Je n’ai plus de colère. Qui me donnera des ronces et des épines (ou buissons d’épines) à combattre ? Je marcherai contre elles, je les brûlerai toutes.

 

Bible de Jérusalem /

https://scroll.bibletraditions.org/bible#best_fr.0.1

Nous voyons ainsi que le buisson d’épines est associé à la traîtrise, à Bélial et Léviathan (deux avatars du diable), que le feu inextinguible est ici symbole de sa destruction éternelle et que le vrai Dieu se moque d’avoir à se battre contre des « buissons » d’épines.

C’est un non-dit, mais c’est une claire allusion au fait que dans la fausse religion universelle originelle, le père des dieux avait pour symbole notamment le buisson d’épines, buisson que le vrai Dieu tourne en dérision.

 

Le fourré

 

Il est aussi intéressant de voir quelle connotation la Bible donne au fourré.

Elle fait usage de ce mot lorsqu’elle compare le pharaon d’Égypte à Assur, un Assyrien, et que lui-même est comparé à un cèdre de l’Eden qui protégeait par ses branches touffues (ou comme un fourré), un cèdre qui finit/(ra) par être jeté dans la terre profonde pour s’être enorgueilli :

Ezéchiel 31 : 1-3, 8-9,

Et vint, la onzième année, au troisième mois, le premier du mois vint jusqu’à moi la parole de YHWH en ces termes : — Fils d’homme, dis à Pharaon, roi d’Égypte, et à sa multitude : — À qui ressembles-tu dans ta grandeur ? Voici Assur, un cèdre, beau par les branches et touffu (ou comme un fourré) donnant de l’ombre, et au milieu des nuages était s’élève sa cime. «… » Les cèdres ne lui faisaient pas d’ombre au jardin de Dieu, les sapins n’égalaient pas ses branches et les platanes n’étaient pas comme ses rameaux. Aucun arbre au jardin de Dieu ne l’égalait en beauté. « … » Car je l’avais rendu beau par l’abondance de ses rameaux, tous les arbres d’Eden lui portaient envie, tous ceux qui étaient au jardin de Dieu. C’est pourquoi ainsi parle le Seigneur YHWH : — Parce qu’il est élevé en hauteur, parce qu’il a porté sa cime au milieu des nuages verte et touffue et que son cœur s’est enorgueilli de son élévation « … » À qui ressembles-tu ainsi en gloire et en grandeur ô [toi] célèbre et grand, parmi les arbres d’Eden ? Tu seras précipité avec les arbres d’Eden dans la terre profonde, au milieu d’incirconcis tu t’étendras, avec ceux que l’épée a transpercés. Tel est Pharaon et toute sa multitude, dit le Seigneur YHWH.

Bible de Jérusalem /

https://scroll.bibletraditions.org/bible#best_fr.0.1

Nous aurons l’occasion de voir dans le détail quels personnages symbolisent ce cèdre de l’Eden, même si nous en avons déjà un peu parlé, mais il est ici évident que le fourré est associé ici à un adversaire du vrai Dieu.

 

 

REFERENCES ET NOTES DE BAS DE PAGE 

 

[1] kiš, keš : totality, entire political world (name of the powerful city in the north of Sumer that first bound together and defended the cities of Sumer) (places + many) (A.Halloran, 1999, p. 47) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français : kiš, keš = totalité, entièreté du monde politique (nom de la puissante ville du nord de Sumer qui la première lia ensemble et défendit les villes de Sumer) (endroit + plusieurs).

[2] Lire à cet effet par exemple ce qui est dit pour les périodes les archaïques d’Akkad (DAI, DAII, DAIII) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kish_Mésopotamie :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Période_des_dynasties_archaïques/Akkad :

[3] Nous verrons dans le livre à suivre sous l’analyse d’Isis en quoi ce nom est aussi une dédicace à la déesse-mère.

[4] HAt-a  commencement, début (Faulkner, réed.2017, p. 200) 

[5] HAty-a  HAtyt-a (HAtt-a) (féminin)  prince local, nomarque, gouverneur, maire ; HAty-a  le meilleur de, le premier de (Faulkner, réed.2017, p. 200) 

[6] Le signe Z1 : Sources : https://www.hierogl.ch/hiero/Signe:Z1 ; Gardiner p. 534, Z1

Il est utilisé comme un déterminatif dans l’un, l’unique, le seul : wa  un; l’unique, le seul voir aussi wai  être tout seul (Faulkner, réed.2017, p. 70).

Ce signe  a été utilisé (comme  et  ° ) pour remplacer des figures humaines, considérées comme magiquement dangereuses ; p.ex. sur les sarcophages du M.E.

Rarement, des extensions de cet usage apparaissent dans l’emploi de comme suffixe de 1re pers. sing. . « i » je, moi ; peut-être aussi dans l’écriture assez courante de pour remplacer s ou  ou  homme

[7] Cf Volume 4 / Lexique hiéroglyphes-français :  wA  lointain, éloigné; loin; jadis; tomber (Faulkner, réed.2017, p. 65)

BIBLIOGRAPHIE

 

Proto-sumérien :

CNIL. Full list of proto-cuneiform signs

& Falkenstein, A. (1936). Archaische Texte aus Uruk. https://www.cdli.ox.ac.uk/wiki/doku.php?id=late_uruk_period :

Sumérien :

A.Halloran, J. [1999]. Lexique Sumérien 3.0.

Héroglyphique :

Faulkner. [réed.2017]. Concise dictionary of Middle Egyptian.

Hiero (hierogl.ch) (Hiero – Pierre Besson)

Démotique :

 The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu)

Hittite hiéroglyphique :

 Mnamon / Antiche scritture del Mediterraneo Guida critica alle risorse elettroniche / Luvio geroglifico – 1300 a.C. (ca.) – 600 a.C.

https://mnamon.sns.it/index.php?page=Scrittura&id=46

https://www.hethport.uni-wuerzburg.de/luwglyph/Signlist_2012.pdf

Archéologie :

Leroi-Gourhan, A. (1958). Le symbolisme des grands signes dans l’art pariétal paléolithique. Bulletin de la Société préhistorique française Année 55-7-8 pp. 384-398.

G.& S Sauvet et André Wlodarczyk (1977) : Essai de sémiologie préhistorique (pour une théorie des premiers signes de l’homme). Bulletin de la société préhistorique française / année 1977 / E&T 47-2 / p.545-558

Science des Symboles :

Chevalier-Gheebrant [2005]. Dictionnaire des Symboles. Paris: Robert Laffont.

Les mythologies  :

Guirand, J. [1996]. Mythes et Mythologie. Paris ; Larousse

Lien entre le chaldéen et la religion catholique :

A.Hislop. [s.d.]. Les deux Babylones.

LIEN DE CET ARTICLE AVEC TOUTE LA SÉRIE  LITTÉRAIRE  « LA VÉRITABLE HISTOIRE DES RELIGIONS DE L’HUMANITÉ »

 

Cet article est extrait du livre lui aussi disponible sur ce site :

Le déchiffrage du language des cavernes

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