Alors que nous sommes parvenus aujourd’hui à un moment crucial de l’histoire humaine, cette série a pour objectif premier et final de contribuer à fournir au plus grand nombre de personnes possibles, sans distinction de couleur, de races, de croyance et de classes sociales, une connaissance complète de la religion et du monde sacré afin de permettre de distinguer le blé de l’ivraie, ce qui relève du mensonge et de la vérité.
Pour y parvenir, cette série va, dans une première étape, démontrer l’authenticité historique des évènements de la Genèse biblique.
Elle va le faire d’une manière originale et totalement novatrice en démontrant que ce récit de nos origines s’est gravé à la fois dans l’Etymologie et dans la Mythologie :
Dans l’Etymologie des plus anciennes langues sacrées connues, le proto-sumérien, le sumérien et le hiéroglyphique égyptien. Ceci constituera, vous le verrez, une découverte, même si d’ordre sacré, aussi importante, sinon plus, que celle d’avoir réussi à déchiffrer ces langues.
Elle va aussi démontrer que le récit de l’Eden a été gravé dans la Mythologie, par le fait que le mythe archaïque d’origine peut être extrait par une analyse comparative poussée des mythes de toutes les civilisations et de leurs symboles et entièrement décodée par la connaissance de ces langues sacrées. En effet, si ces langues sous-tendent les noms de toutes les divinités, elles se révèleront surtout être la clef indispensable de compréhension des symboles, la langue du mythe, qu’elles ont elle-mêmes générés par le jeu de leurs double sens homophoniques spécifiques.
Nous verrons alors émerger grâce à ces deux facettes d’une même pièce, l’Etymologie sacrée et la Mythologie, tous les détails de la puissante trace mnésique que les évènements de l’Eden ont indiscutablement gravé dans la mémoire de l’humanité.
Nous verrons aussi, progressivement, que la Mythologie a toutefois enseigné une version antagoniste, contradictoire, des évènements de l’Eden par rapport à celle portée par le récit biblique, et qu’ainsi, même si ces évènements sont avérés d’un point de vue historique, ils n’y ont pas été présentés et interprétés de la même manière, ce qui a eut pour effet de générer, dès le départ, deux religions principales primordiales antagonistes.
Nous verrons dans le détail quels étaient les enseignements de la religion mythologique en commençant par la mythologie préhistorique puis historique et classique et en quoi ils divergent frontalement de l’enseignement biblique.
Nous verrons aussi l’intime filiation entre la religion mythologique préhistorique et tous les cultes de la Terre qui s’en sont ensuivi.
Il sera tout d’abord démontré (dans le livre intitulé le déchiffrage du langage des cavernes) que les fresques rupestres du paléolithique supérieur correspondent au plus ancien langage idéographique connu : le protosumérien, ce qui permettra de comprendre non seulement l’intime lien linguistique mais aussi sacré et mythologique entre la religion mythologique préhistorique et les premières civilisations de Sumer et de l’Égypte.
Nous verrons aussi combien Sumer et l’Egypte ont, à leur tour, innervé tous les cultes de la Terre de l’époque historique.
Nous verrons que cette fine connaissance de la religion mythologique préhistorique et de toute la symbolique auquel elle a eu recours nous permettra ensuite de dénouer un à un tous ses mystères, tous ses rites, y compris les raisons sacrées de l’architecture et de l’ornementation de ses temples majeurs qu’ils soient de l’époque mégalithique, antique ou plus récente.
Cette série interpellera, j’en suis certain, aussi bien les croyants en les renforçant dans leur foi et en les aidant à se repositionner, que les personnes agnostiques, athées, les partisans de la théorie de l’Evolution, les simples détracteurs du récit biblique qui n’en font qu’un mythe ou un mythe secondaire nés de mythes antérieurs à Sumer que chacun explique ensuite à sa manière.
Je précise que je suis un auteur chrétien. Même si je ferai régulièrement état de mon propre positionnement, cela ne m’empêchera pas, vous le constaterez, de principalement développer et expliquer la version contraire de ma foi, la religion mythologique avec toutes ses ramifications dans le but, encore une fois, d’éclairer le plus possible.
Je précise enfin que cette série n’a rien d’ésotérique. Elle est fondée sur deux purs socles scientifiques, la linguistique des langues mentionnées d’un côté, et la mythologie et symbologie comparative de l’autre. Ce qui permet d’éliminer toute interprétation personnelle et subjective propre au monde ésotérique.
J’espère de tout cœur qu’une fois arrivé à la fin de cette série vous ferez le bon choix.
Pour l’heure je ne puis que remercier les milliers de lecteurs* qui affluent sur le site du monde entier depuis le peu de temps de sa mise en ligne et de son implémentation.
Je l’ai traduite en 10 langues, car je souhaite que cette connaissance soit accessible, dans la mesure du possible, gratuitement, à toutes et à tous.
Je compte essentiellement, pour le moment, sur le financement participatif pour rendre cela possible.
Ce site est vivant et son implémentation sera progressive. C’est pourquoi les matières pour l’heure manquantes prendront vie peu à peu, assez rapidement au regard du volume considérable des recherches effectuées et de la nécessité de leur présentation optimisée.
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Yvar
Un exemple ?
Voici la toute première vidéo :
Elle est tirée du livre « le déchiffrage du langage des cavernes » et illustre le fait que le proto-sumérien correspond au langage idéographique rupestre en déchiffrant deux fresques de la grotte de Marsoulas (bison + signes) dont l’une d’elles contient un signe pettiforme très caractéristique.
Je vous invite idéalement à commencer dans l’ordre, c’est-à-dire par la préface dans laquelle je vous présente notamment la méthodologie appliquée par cette série (la raison du recours à la linguistique archaïque, à la mythologie comparée etc…).
J’y introduis aussi les conséquences importantes qu’auront mes découvertes.
Je vous y donne enfin quelques conseils pour bien appréhender sa lecture, en étant, d’un côté, prêts à renverser la table des corporatismes, historiques, scientistes et religieux, tout en prenant du recul par rapport à son auteur (moi !), sa forme et son contenu.
Outre la lecture de la préface, je vous invite également à vous rendre à l’onglet structuration du menu, si vous souhaitez embrasser d’un regard cette série littéraire, comprendre comment elle se décline et aborde progressivement toutes ces questions, volume par volume, livre par livre :
J’ai aussi créé une rubrique dédiée à chacun de mes livres déjà publiés afin que vous puissiez avoir plus de détail à leur sujet et un lien pour celles et ceux qui peuvent et souhaitent les acheter
(En raison de la présence de nombreuses notes et références de bas de page, je vous invite à les acheter de préférence en version numérique pour un confort de lecture optimale).
J’ai conçu une section ou rubrique de blog où une assez grande partie des livres et de leur contenu est en libre lecture en ligne sous formes d’articles de blog :
J’ai trouvé utile de concevoir aussi une rubrique intitulé : le dictionnaire des symboles. Fondamentalement, elle est la correspondance en ligne du volume 3 « La Bible du symbole de la religion mythologique préhistorique et antique » en ce qu’elle va donner le sens polysémique de l’intégralité des symboles constitutifs de la langue symbolique sacrée de la religion mythologique préhistorique et antique. Il est donc indispensable de les connaître pour comprendre ce langage sacré
Le site explose à l’international en très peu de temps ! (Source Google analytics)
Après le décryptage des fresques rupestres analysés dans les articles précédents, cet article fait la démonstration que les civilisations de Sumer, d’Egypte et Hittite n’ont pas nommé leurs centres religieux (Kish, Gizeh) ou leur civilisation (Hatti) au hasard mais elles se sont choisies un nom faisant directement référence à l’un des nom majeurs du père primordial de l’humanité divinisé après sa mort : kisha (ou kissa) et à ses symboles ou double sens idéographiques majeurs ((l’équidé (âne, cheval), le cerf, le buisson d’épines, le balai)
Le tableau de comparaison entre les signes rupestres et les signes du proto sumérien
Les recherches scientifiques précédemment menées sur cette question et leurs conclusions
Les erreurs fondamentales des archéologues référents
Une véritable Analyse objective des écritures idéographiques
Cet article va déchiffrer la figure idéographique du taureau noir de la grotte de Lascaux. Ce déchiffrage se fera au moyen du langage idéographique proto-sumérien et de ses langues associées : le sumérien et le hiéroglyphique.
Cet article va traduire l’intégralité de la fresque du grand panneau de la grotte de Marsoulas au moyen du langage idéographique proto-sumérien et de ses langues associées : le sumérien et le hiéroglyphique. Cet article est l’un des dix exemples de déchiffrage tirés du livre « le déchiffrage du langage des cavernes » qui illustrent concrètement le fait que les couples d’animaux et de signes relevés par les archéologues et datés du Paléolithique supérieur correspondent en fait en tous points au langage idéographique protosumérien, le plus ancien langage idéographique connu.
Cet article déchiffre la fresque du taureau / auroch avec ses signes, en langage idéographique proto-sumérien et ses langues associées : le sumérien et le hiéroglyphique. Il prouve qu’il s’agit de la grande divinité préhistorique et nous révèle son nom.
Explication par l’analyse des symboles de Tanit et l’étymologie sacrée sumérienne et hiéroglyphique
Association aux symboles de l’Ankh égyptien, de l’œil de la providence (déistes, francs-maçons, Illuminati) et de la croix.
Cet article sera une pierre de fondement pour comprendre la symbolique profonde de certaines mains rupestres spécifiques et celles de tous les symboles énumérés démontrant ainsi par leur interconnexion l’universalité et l’intemporalité de cet aspect caché du culte de la grande divinité, célébré par le paganisme depuis la préhistoire jusqu’à nos jours
Cet article permet de comprendre les raisons pour lesquelles la déesse-mère et les grandes déités ont été représentées en position accroupie.
Nous verrons le lien avec la croyance en leur pouvoir de procurer la fertilité dans le monde des vivants et surtout la renaissance pour les morts.
Nous verrons aussi le lien étroit de cette représentation avec la catégorie symbolique des fluides.
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