Die Entzifferung des Zeichens III und des Fisches aus der Höhle von Pindal

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ZWECK DIESES ARTIKELS

Dieser Artikel wird die ideografische Figur übersetzen, die aus dem Zeichen III in Verbindung mit der Darstellung eines Fisches besteht und in der Höhle von Pindal zu finden ist. Diese Entschlüsselung wird mithilfe der proto-sumerischen ideografischen Sprache und ihrer verwandten Sprachen, dem Sumerischen und dem Hieroglyphischen, erfolgen. Dieser Artikel ist eines von zehn Entschlüsselungsbeispielen aus dem Buch „Die Entzifferung der Höhlensprache“, die konkret veranschaulichen, dass die von Archäologen gefundenen Tier- und Zeichenpaare, die auf das Jungpaläolithikum datiert werden, tatsächlich in jeder Hinsicht der protosumerischen ideografischen Sprache entsprechen, der ältesten bekannten ideografischen Sprache.

Inhaltsverzeichnis

VERKNÜPFUNG DIESES ARTIKELS MIT DER GESAMTEN LITERATURREIHE „DIE WAHRE GESCHICHTE DER RELIGIONEN DER MENSCHHEIT“.

Dieser Artikel ist ein Auszug aus einem Buch, das ebenfalls auf dieser Website verfügbar ist:

Band 2 Buch 2 Die Entzifferung der Höhlensprache

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Einleitung / Strukturierung und Inhalt

Ich wünsche Ihnen nun viel Spaß beim Lesen dieses Artikels, den ich Ihnen unten in voller Länge zur Verfügung stelle:

Grotte de Pindal : Le signe III du poisson

 

Ce que nous venons de voir (LA SIGNIFICATION DU TAUREAU / AUROCH DU PREMIER PANNEAU DE LA LICORNE DE LA GROTTE DE LASCAUXLe déchiffrage du signe XIII du diverticule des félins de la grotte de Lascaux permet d’expliquer partiellement (nous savons maintenant parfaitement ce que signifie le signe III) le sens de la figure rupestre du poisson marquée de ce signe que l’on retrouve dans la grotte de Pindal.

 

Cette figure est apparemment l’un des exemples utilisés par Mr Ben Bacon pour soutenir la thèse toute récente selon laquelle les signes trait et point serait une proto-écriture indiquant les mois lunaires d’accouplement des espèces figurées associées à ces signes.

Cette image d’un saumon gravé il y a 17 000 ans dans la grotte de Pindal, dans les Asturies (Espagne), comporte trois lignes placées à l’intérieur. | M. Berenguer/Durham University

https://trustmyscience.com/decouverte-plus-ancienne-proto-ecriture-peinture-art-rupestre/

 

Je préfère laisser nos amis anglais à leurs explications et leur souhaite bien du courage pour expliquer de la sorte non pas quelques signes simples et isolés, mais la quasi-intégralité des signes préhistoriques.

 

Soyons, s’il vous plaît, un peu sérieux et examinons donc qui représente ce saumon, ce poisson :

 

Il s’agit de simplement savoir qu’en sumérien un des mots majeurs pour poisson est « ku6 ou ku-a »[1]

 

Or, que désigne ku en sumérien ?

 

 

Sens de ku

 

Nous l’avons vu dans l’analyse sous l’auroch de la fresque de la licorne de Lascaux, ce terme désigne un ancêtre géniteur procréateur biologique.

 

Rappel de l’explication :

L’idéogramme ku se dit ugu4 qui a le sens verbal de « porter, procréer, produire »[2] [homophone de « úgu »[3] équivalent de « a-ka »]. ugu4 (et ùgun) a aussi le sens verbal d’« engendrer, porter », le sens nominatif d’« un ancêtre », un ancêtre dont on hérite la génétique[4]. Le terme ama-ugu qui associe les termes mère « ama » et « ugu » signifie une mère naturelle ou biologique[5]. ugu a donc aussi le sens de naturel, biologique.

L’idéogramme ku se dit aussi a-ugu4  [strict équivalent de « a-ka »] qui signifie « le père qui engendra quelqu’un »[6].

Ainsi l’idéogramme ku et sa phonétisation en ugu ou a-ka signifie donc un ancêtre géniteur procréateur biologique, masculin ou féminin.

C’est pourquoi son redoublement : « kuku » signifie « un ancêtre fondateur »[7]

 

C’est donc déjà en soit très clair non ?

 

 

La raison du signe proto-cunéiforme ku

 

Ceci dit, vous comprendrez alors mieux pourquoi le signe proto-cunéiforme pour ku assume notamment cette forme caractéristique mi-homme mi-poisson : (C’est le signe 57 du tableau comparatif en annexe[8]).

Ce n’est qu’une écriture ultérieure du signe pré-proto-cunéiforme que vous avez observé comme moi, car le poisson est un signe-symbole en soi.

C’est aussi la raison profonde pour laquelle le père des dieux sera de manière récurrente représenté dans toute la mythologie successive comme un homme-poisson ou un poisson.

Nous le verrons notamment dans le volume 3 au symbolisme du poisson.

 

 

Ku et la caverne

 

Je vais maintenant apporter à ce terme ku un peu plus de noirceur pour de manière inversement proportionnelle encore davantage vous « éclairer » sur les raisons de sa présence dans une caverne 

En effet, il faut préciser que ku renvoie aussi par son homophone ku10 à la nuit représentée par une cavité noire comme, par exemple, la gorge.

Il désigne dans sa forme adjective ce qui est noir et sombre[9]. Kúkku signifie sombre.

 

 

Kk en égyptien

 

Ce sens est d’ailleurs en parfaite symbiose avec l’égyptien hiéroglyphique puisque le hiéroglyphe  kk signifie être dans l’obscurité, dans les ténèbres[10] et  kkw (prononcez kku) désigne l’obscurité, les ténèbres[11].

C’est une des nombreuses preuves de la consanguinité sumérien-hiéroglyphes.

 

 

Conclusion sur l’association du signe III avec le poisson

 

Si c’est donc l’une des nombreuses traces d’intrication entre le sumérien et le hiéroglyphique, cela nous éclaire surtout ici sur le fait que par ce poisson il est bel et bien question d’un ancêtre fondateur, primordial, représenté comme étant dans les ténèbres d’une cavité noire et sombre semblable à la gorge ou à… la caverne, afin de représenter sa condition dans l’inframonde.

 

Quant au genre de cet ancêtre primordial dans les ténèbres de l’inframonde, masculin ou féminin, il nous est donné par « a » de ku-a puisque si « a » est de l’eau, c’est surtout un père[12]

 

C’est donc bien du père ancêtre géniteur procréateur biologique, naturel dont il est question par le poisson, ku-a.

 

Ayant dit cela, la raison de l’association du signe ku avec le III intégré qui a été expliqué dans les deux analyses précédents doit, franchement, « couler de source »…elle, très claire, extrêmement claire même…

 

Vous le comprenez aisément, ce ku-a est tout bonnement la simple contrepartie de l’auroch du panneau de la licorne de Lascaux.

C’est le logogramme miroir, juste inverse de a-ku, le père-ancêtre ku sous gu le bœuf ou le taureau, lui aussi marqué du sceau du triple III.

 

Ils contiennent les stricts mêmes logogrammes, et font tous deux références à strictement la même personne, le père « a » ancêtre géniteur procréateur biologique «  ku » déifié et adoré comme le père des dieux, la divinité suprême III.

 

Quant à sa prononciation, elle peut donc être quasiment la même que celle de l’auroch de Lascaux ou celle du signe XIII de Lascaux, en partant du signe III puis un nommant le poisson :

 

III « Nous, le dieu suprême, dont le nom divin est… »

  • a-aa-ku/gu : III “ad(a) / a-aa, le père humain, le grand-père, le vieillard” ku (a-ka, a-ga, ugu) l’ancêtre géniteur procréateur biologique, ku(– a) le poisson (équivalent de gu, le bœuf, le taureau).

 

Que nous savons être un équivalent de adam(a) : III “ad(a) / a-aa, le père humain, le grand-père, le vieillard” áma, am l’auroch, le taureau sauvage.

 

 

Constatation

 

Nous avons vu trois fresques et toutes trois, celle de l’auroch et du signe III, celle du bison et de la croix associée au III, celle enfin du poisson et du signe III s’avèrent avoir fondamentalement le même sens et désigner le même être.

 

Qu’est-ce que cela nous prouve ?

 

Faut-il comprendre que les réalisateurs de Lascaux étaient les mêmes que ceux de la grotte de Pindal ? Était-ce là un travail de représentations soigneusement préparé et connecté les unes avec les autres ?

Il est bien sûr hautement permis d’en douter.

Le point n’est pas celui-là.

 

Il est bien plus fort que cela.

 

En vérité et de manière très simple, cela prouve que les hommes préhistoriques qui avaient pour système sémiologique le pré-proto-cunéiforme recourraient simplement à l’usage des différents symboles pour exprimer quasiment exactement la même chose.

Grâce au jeu de l’homonyme sumérienne, ils en avaient plusieurs à disposition et choisissaient, en fonction de leur préférence, et sans doute aussi du contexte dans lequel ils évoluaient (temps à disposition pour réaliser la fresque, difficulté d’accès, nature et forme du support) un symbole plutôt qu’un autre.

 

Bien plus qu’une coordination à l’échelle de la grotte ou intergrotte, cette utilisation de symboles en apparence complètement différents, mais au signifié identique atteste de leur unicité de pensée avec pour socle de diffusion le langage pré-proto-cunéiforme.

 

Rien que l’analyse conjointe de ces trois figures atteste que le langage pré-proto-cunéiforme est bien la clef du code secret des signes rupestres puisqu’il est statistiquement impossible que des symboles aussi différents que l’auroch (áma, am = gu = ku) et le bison (alim = bison, auroch) aient des signifiés identiques à la croix ([á] ma-aš = auroch, unique) et au poisson (ku– [a]).

 

 

 

NOTES DE BAS DE PAGE ET REFERENCES 

 

 

[1] ku6, kua : fish (, ‚food‘, + a, ‚water‘) (A.Halloran, 1999, p. 12) ; Cf  Volume 4 / Lexique sumérien-français : ku6, kua = poisson (, « nourriture » + a, « eau ».

 

[2] ugu4 [KU] = to bear, procreate, produce (cf., ugu4-bi). (A.Halloran, 1999, p. 18) avec traduction au Volume 4 / Lexique sumérien-français : úgu4 (KU) = porter, procréer, produire (cf., ugu4— bi).

 

[3] a-ka = (cf., úgu) (A.Halloran, 1999, p. 72)

 

[4] ùgun, ugu4 = n., progenitor. v., to beget, bear. adj., natural, genetic (A.Halloran, 1999, p. 68) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français : ùgun, ugu4 = nominatif ancêtre, progéniteur /verbe : engendrer, porter. Adjectif : naturel, génétique.

 

[5] ama-gan; ama-ugu = natural or birth mother (‚mother‘ + ùgun, ugu4, ‚to beget‘)  (A.Halloran, 1999, p. 77) Volume 4 / Lexique sumérien-français : ama-gan, ama-ugu = mère naturelle ou biologique (« mother » + ùgun, ugu4, « engendrer »).

 

[6] a-ugu4 [KU] = the father who begot one (’semen‘ + ‚to procreate‘)  (A.Halloran, 1999, p. 74) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français = a-ugu4 (KU) = le père qui engendra quelqu’un (« sperme » » + « procréer »).

 

[7] ku-ku: ancestors (?) (‚to found; to lie down‘) (A.Halloran, 1999, p. 113) ; Volume 4 / Lexique sumérien-français : ku-ku = ancêtres (?) (“fonder”).

 

[8] 57 (CNIL, p. 78)

 

[9] ku10 = cf gíg = gíg, ñíg, gi6, ge6, ñi6, ñe6, mi, mé, ku10 ; gi25 : n., night (sounds represent the throat chamber or the mouth as an enclosed dark chamber) ; v., to be black or dark (ku10: reduplication class). adj., black, dark (cf., kúkku = kúkku [MI.MI] : dark) (A.Halloran, 1999, pp. 10, 12, 25, 61) Volume 4 / Lexique sumérien-français : Ku10 = voir gíg = gíg, ñíg, gi6, ge6, ñi6, ñe6, mi, mé, ku10 ; gi25 = nuit (elle représente la cavité de la gorge ou la bouche refermée comme une chambre noire/verbes : être noir ou sombre (ku10) / adjectifs : noir, sombre (cf., kúkku = kúkku [MI.MI] : sombre).

 

[10] Cf Volume 4 / Lexique hiéroglyphes-français : kk    être dans l’obscurité, dans les ténèbres (Faulkner, réed.2017, p. 352)

 

[11] Cf Volume 4 / Lexique hiéroglyphes-français : kkw   obscurité, ténèbres (Faulkner, réed.2017, p. 352)

 

[12] a, e4 = nom. : water; watercourse, canal; seminal fluid; offspring; father; tears; flood (A.Halloran, 1999, p. 3) avec traduction au Volume 4 / Lexique sumérien-français : a, e4 = au nominatif  = eau, cours d’eau, canal, fluide séminal, descendance, père, larmes, inondation ou déluge. 

 

a-a : father (A.Halloran, 1999, p. 71) Volume 4 / syllabaire sumérien-français :  a-a : père

 

BIBLIOGRAPHIE

Protosumerisch :

CNIL. Vollständige Liste der proto-kegelförmigen Zeichen

& Falkenstein, A. (1936). Archaische Texte aus Uruk. https://www.cdli.ox.ac.uk/wiki/doku.php?id=late_uruk_period :

Sumerisch :

A.Halloran, J. [1999]. Sumerisches Lexikon 3.0.

Heroglyphisch :

Faulkner. [réed .2017]. Kurzes Wörterbuch des Mittelägyptischen.

Hiero (hierogl.ch) (Hiero – Pierre Besson)

Demotisch :

The Demotic Dictionary of the Institute for the Study of Ancient Cultures of the University of Chicago | Institute for the Study of Ancient Cultures (uchicago.edu)

Hethitische Hieroglyphenschrift :

Mnamon / Antiche scritture del Mediterraneo Guida critica alle risorse elettroniche / Luvio geroglifico – 1300 a.C. (ca.) – 600 a.C.

https://mnamon.sns.it/index.php?page=Scrittura&id=46

https://www.hethport.uni-wuerzburg.de/luwglyph/Signlist_2012.pdf

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